Cette plaque apposée sur une pierre est dédiée à la mémoire de Jean-Marie Léonard, né en 1964 et décédé en 2016. Il a contribué à l’érection en réserves naturelles et sites protégés, de plusieurs zones autour de la Montagne Saint-Pierre.

Il s’agit d’une église de style néo-roman caractérisée par ses quatre tourelles aux angles de la tour.

Une ancienne croix en fer forgé sur un socle en pierre gravé.

Ce monument est dédié aux morts des deux guerres. Il est doté de noms sur chacune de ses faces et de plusieurs plaques commémoratives.

Ce point de vue sur les hauteurs de rochers d’une hauteur de 60 m surplombe la Semois.
La végétation est composée de bruyères, de myrtillers et de mousses.

Cette roche surplombe la Semois sur son flanc est et en rive gauche. Elle est à l’origine d’une légende locale.

Ce point de vue se trouve au sommet du rocher et offre un point de vue sur la Semois.

Les randos Back to the C!ty sont souvent réservées aux marcheurs aguerris. Celle-ci est à presqu’à portée de tous : elle consiste à prendre un bus depuis La Roche jusqu’à Samrée puis de redescendre en ville à pied tranquillement par de très beaux chemins.

Cette rotonde en bois offre, depuis la Montagne du Deister, un point de vue extraordinaire sur La Roche (ville et château) et sur la Vallée de l’Ourthe depuis ce parc rocailleux s’échelonnant sur les hauteurs nord-est de la ville.

Cette chapelle en schiste du début du 17è siècle se situait près d’un ermitage. Elle abritait la statue de Sainte-Marguerite et de Notre-Dame mais elles furent dérobées en 1973.

Cette aire de pique-nique est située à la source du Ruisseau de Pierreux, près de l’étang du Diable Château.

Coin idyllique près d’un carrefour forestier du versant rochois...

Le jet de ce bac-fontaine joliment fleuri en pierre provient de la bouche d’un gros poisson. L’explication nous donne l’origine du toponyme Samrée, rey signifiant ruisseau et sam signifiant saumon.

Dans un muret, cette croix funéraire en schiste très décorée a été placée à la mémoire de Bertrand Chalon, décédé en 1825.

Une placette arborée avec deux tables de pique-nique, même munies de coussins ainsi qu’une petite charmille font tout le charme de cette entrée du village.

Plusieurs tables de pique-nique dans l’enceinte du parc mais hors de la partie gibier proprement dite.

L’église a été fondée en 1708 au milieu d’un ancien cimetière.
Elle fut reconstruite en 1846.
Elle fut bombardée par les Allemands en 1914. 3 obus sont encore visibles actuellement dans la façade.