Il s’agit d’un pavillon forestier qui a comme commodités, l’électricité, l’eau courante, cuisinière et frigo. Une toilette extérieure et du matériel d’entretien. Redevance d’occupation obligatoire !
Une aire de bivouac doté d’un pavillon.
Ce restaurant est dirigé en cuisine de façon dynamique et ambitieuse par Cédric Orban et Julien Doucet avec un menu carte que les hôtes composent en fonction de leurs envies. Inspiration ménagère tout en gardant le raffinement du produit.
Cette passerelle fondue dans la forêt permet l’observation d’animaux dans un cadre paysager remarquable.
Cette glacière, visible de la N675 Vielsalm-Poteau, date de la seconde moitié du 19è siècle.
Ce monument aux victimes de la guerre se situe juste devant l’église. Il a été érigé en août 1921.
Ce monument datant de 1954 a été érigé pour terminer l’année mariale (où son culte est plus intense pour accroître la dévotion). Il est situé à la sortie du village vers Vielsalm. Il a été offert à la fabrique d’église en 1991.
Dans un bouquet de hêtres, cette statue du Sacré-Cœur de Jésus date de 1930. Elle est protégée par une barrière en fer forgé et se situe le long de la N675 Vielsalm-Poteau.
Cette petite chapelle en briques calcaires a été érigée en 1936 par Constant Gérardy, trésorier, organiste et chanteur de la paroisse. Elle a été rénovée en 2017.
Cette église en moellons d’arkose, de style néo-roman, construite en 1892 sur les plans de l’architecte Cupper, remplace une chapelle datant de 1766. Elle a été restaurée en 1958, sur les plans de l’architecte Toussaint.
Ce long bloc de poudingue dressé et blanchi est appelé aussi "Pierre des Ancêtres" ou "Menhir Blanc", au sommet de la colline dominant le paysage.
Ce bloc de poudingue forme vaguement un lit.
Il est à l’origine d’une légende qui raconte la rencontre d’un meunier avec le diable.
Cette église romane date de 1050. Les 3 nefs se terminent par un chœur semi-circulaire flanqué d’une chapelle gothique (16è) et de la sacristie (20è).
Cette glacière a été construite à côté du bief du moulin par la laiterie de Soy en 1910. On y déposait les crèmes afin de les refroidir.
Elle a été reconvertie en abri pour les chauve-souris.