Ce pont de bois enjambe le Ruisseau du Bayehon.

Une table de pique-nique située en rive gauche le long du Ruisseau de Trô Maret, à une dizaine de mètres de la Croix Schmitz.

Cette croix en bois a été érigée à la mémoire de Philippe Schmitz (15/1/1956 - 27/5/2000). Une inscription souligne son goût du risque et de l’aventure. Il a gravi les plus hauts sommets d’Europe.

Un parcours santé le long d’un ruisseau fagnard : le Ghaster. Proche du village de Sourbrodt et du complexe d’hébergement du Domaine des Hautes Fagnes.

Ce chemin relie la Croix Grisard à la N68 Eupen-Malmedy.

Ce tunnel creusé entre la Soor et la Lac de la Gileppe permet à ce dernier de bénéficier de l’apport en eau de la Soor.

Cette croix a été érigée en souvenir de Madame Marguerite Crau.

Une table de pique-nique située en sous-bois près du parking de la Croix Noire, sur la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.

Cette croix fut érigée à la mémoire de Théodore Grisard, "forestier des forêts de Sa Majesté Impériale et Royale", assassiné par deux voleurs de bois venus de Jalhay le 27 janvier 1750.

Ainsi dénommé depuis le 19è siècle, c’était le lieu privilégié de rendez-vous des amoureux. Il a dû être abattu en 1989 après avoir tenu 350 ans, pour des raisons de sécurité. On l’a remplacé par un jeune chêne en 1993.

Cette célèbre source minérale produit une eau ferrugineuse naturellement pétillante. Elle est située à une altitude de 400 m.
Elle est aussi appelée "l’Enragée".

Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est mentionnée pour la première fois sous le nom de "Barisair" en 1438. Des bassins furent très tôt adjoints à la source.

Un pique-nique situé sur la Promenade Meyerbeer, en amont de la Source de Barisart.

Un pique-nique situé au milieu la Promenade Meyerbeer, entre la Source de Barisart et la Source de la Géronstère.

Une passerelle sur la Masblette, environ 500 m en amont de l’arboretum Saint-Michel.

Cette passerelle sur la Masblette en bois protégée par un treillis anti-glisse, est située à une altitude de 320 m, peu avant sa confluence avec le Ruisseau de Palogne, en plein cœur de la Forêt de Saint-Hubert.

Cet arboretum de 2 hectares datant de 1899 est divisé en 86 parcelles. Il consiste à observer les capacités d’adaptation d’espèces d’arbres non indigènes dans les conditions de sol et de climat ardennaises.