Ce centre de loisirs comporte 8 chambres d’hôtel, 1 loft et 37 chalets.
Equipé avec piscine intérieure et extérieure, wellness avec jacuzzi et hammam, salles de séminaire, restaurant, terrasse ensoleillée, terrain de tennis, minigolf…
Eglise en moëllons chaulés comportant des vitraux voûtés et un clocher à 2 pans.
Ce labyrinthe qui s’étend sur 30 ares est composé d’un réseau de milliers de plants de haies. Il est également agrémenté d’un verger ainsi que de constructions en saule.
Cette passerelle suspendue qui enjambe la Sûre, en reliant le Chemin du Moulin au parc de la Tannerie, a une longueur de 150 m. Dans la prairie en contrebas, on peut voir des vaches des Highlands broutant autour des mares du terrain fangeux.
Ce belvédère qui permet le passage de la Passerelle des Oiseaux vers la Rue du Musée en contrehaut repose sur 4 tubes en acier. Le bardage est en douglas.
Une table de pique-nique à l’intérieur du labyrinthe de la biodiversité.
Une plaine de jeux avec de nombreux modules, dont une tyrolienne, proche du hall sportif.
Cette chapelle a été construite par la famille Mathieu au début du 18è siècle. Elle recueillait les prières du voyageur au pied d’une pente rude sur la route Bruxelles - Luxembourg.
Un petit abri dotée d’un banc dans le parc du moulin.
Cette œuvre monumentale de Jozia Gozdz-Lamborelle se compose de petit granit et de schiste. Elle met en évidence le travail de l’homme représenté par un dos musclé. Sa main stylisée tient du schiste symbolisant sa maîtrise de la matière.
Ce terril a une hauteur de 96 m. Son sommet culmine à 365 m d’altitude. C’est le sommet le plus élevé de la chaîne de terrils de Wallonie.
Il s’agit d’une ancienne mine de charbon.
Cette croix d’occis en pierre de taille fut érigée en mémoire de Bernard Lembert de Lierneux décédé à cet endroit en 1784.
Cette chapelle en bois possède plusieurs statuettes religieuses.
Après Saint-Antoine, qui fut patron de la chapelle dès 1589, ce fut Saint-Maurice qui eut l’honneur de prendre sa place en 1620.
Ce n’est qu’en 1628 qui la paroisse d’Arbrefontaine fut érigée.
Une croix en bois dotée d’une toiture à deux pans, juchée sur le promontoire d’un muret en schiste.